lundi 7 décembre 2009

Salade chicons jambon croûtons !

Salut !

Voilà une recette facile et tout à fait bonne (à condition d’aimer les endives) : la salade chicons-pommes-noix-croûtons-jambon.

J’ai presque honte de la publier tellement elle est simple...


Il vous faut :

- des endives (des chicons !)

- des pommes

- des noix

- des croûtons (achetés ou faits maisons : des tartines de pain sec coupés en carrés, et rissolés dans une poele)

- du jambon (demandez une tranche épaisse, vous n'aurez qu'à la couper en cubes)

- de la vinaigrette (la recette ici)

Comment faire :

1. Lavez les endives et coupez-les en rondelles.

2. Mélangez avec le reste des ingrédients et ajoutez la vinaigrette !

3. C'est tout !



Et maintenant, le quart d'heure "J'apprends en mangeant" :

Vous avez sûrement remarqué que j’ai employé le terme « chicons ». Oui, oui, ça veut bien dire endives. Si vous êtes du Nord, vous avez compris tout de suite, non ?

Alors, d’où ça vient les chicons ? De Bruxelles ! La légende raconte que l'endive aurait été découverte au milieu du 19e siècle, par un certain Monsieur Bréziers, responsable du jardin botanique de Bruxelles. On raconte que pour payer moins d’impôts sur ses cultures, il cacha des pieds de chicorée sauvage dans sa cave. Pour parfaire le camouflage, il les recouvrit de terre. Quelques semaines plus tard, alors qu’il s’en allait les récupérer, il découvrit des plantes blanches sur les racines : les chicons ! Comme quoi, être radin, c'est malin !

Aujourd’hui, c’est comme ça qu’on les cultive : d’abord on produit les racines. C’est tout simple : en mai, on plante une graine, et 5 à 6 mois plus tard, on obtient une racine. Celle-ci a ramassé tout plein de réserves.

Ensuite, on les planque dans une chambre froide, pour une période entre 8 jours et 8 mois. Ben oui, ça permet de manger des chicons toute l’année ! Quand on veut des chicons, donc, on place la racine dans un endroit chaud, humide et sombre. Pendant trois semaines, le chicon va pousser, grâce aux réserves accumulées par la racine.

Ça ressemble à ça :


Enfin, on sépare le chicon de la racine, on l’épluche et on l’emballe. Et voilà, il est prêt à être mangé !

samedi 5 décembre 2009

Recycler, c'est la santé !

Alors, j'avais déjà posté ce billet sur mon autre blog, mais je le remets quand même... faut bien que je le fasse vivre en attendant d'autres recettes...

Alors, sur la photo ci-dessous, vous avez un aperçu de ce que je mange ici. (mais j'ai bien écrit "aperçu", je ne mange pas que ça, hein, quand même...)
Notez la présence de vert, d'aliments équilibrés et sains. C'est bien simpe, rien qu'en les regardant, on se sent en santé ! (Non ?)
Hé oui, révélation, au Québec, il n'y a pas que des poutines, des jelly beans et des bagels...

Et en plus, amis joueurs, vous allez pouvoir vous amuser : regardez-bien l'image (vous pouvez l'agrandir en cliquant dessus) et répondez aux questions dans les commentaires (toutes les réponses se trouvent dans l'image). Solution dans le prochain article !


- Qu'est-ce que le gras trans ?
- Qu'est-ce qui, parmi les aliments de l'image, n'en contient pas ?
- Avec quoi on fait du pain ou de la brioche ?
- Qu'y a-t-il dans le paquet à droite avec un monsieur dessiné dessus ?
- Quelle est la marque du beurre ?
- Comment s'appelle la substance jaune devant le paquet de mâche?
- Quelle est la particularité de la plaque de chocolat ?

Un petit zoom pour vous expliquer comme prononcer le mot "mâche" :


Et enfin, ce qui fait ma joie et mon bonheur et de délicieux cookies... imaginez comme c'est beau, des pépites de chocolat rayées !!


Bon appétit !

P.S : Vous aimez les photos mystère ? Si oui, faites-moi signe dans les commentaires, j'en ai plusieurs en stock !

vendredi 27 novembre 2009

Miam ! Des brownies !


Aimez-vous les brownies ? Pour la petite histoire, la recette originale provient d’un magazine Mickey. Mais elle a été modifiée trèèèès souvent. J’espère qu’elle vous plaira !

Il vous faut (ne fuyez pas en voyant les quantités de sucre et de beurre !) :

- 200 g de beurre (1 tasse)

- 200 g de chocolat mi-sucré

- 3 œufs

- 300 g de sucre (1 tasse et 1/2)

- 175 g de farine (1 tasse et 1/2)

- 4 pincées de levure chimique (poudre à pâte)

- facultatif : pépites de caramel


Comment faire :

1. Préchauffez votre four à à 180 ºC (350 ºF). Faites fondre le beurre et le chocolat dans une casserole, à feu doux.



2. Dans un saladier, mélangez les œufs et ajoutez le mélange beurre-chocolat. Ajoutez le sucre et mélangez.



3. Ajoutez la farine et la levure et mélangez.



4. À ce stade, vous pouvez ajouter des pépites de caramel ! Je les ai mises au hasard, et c'était, très bon ! En tout cas, ceux qui y ont goûté ont apprécié, je crois !





5. Versez dans un plat rectangulaire et faites cuire 30 minutes. Vérifiez la cuisson au bout de 20 minutes en plantant un couteau au milieu. La lame doit ressortir un peu humide.



6. Léchez les plats.

dimanche 15 novembre 2009

Chocosisson !

Il est à consommer sans modération, il est du vrai saucisson une parfaite imitation, il est bon, c'est... le chocosisson !

En plus, la recette peut servir à faire plein de trucs, comme un rat en chocolat !

Il vous faut :

- 200 g de chocolat

- 100 g de beurre (un peu moins d'1/2 tasse)

- 80 g de sucre à glacer (3/4 de tasse)

- 1 oeuf

- une vingtaine de biscuits émiéttiés (genre Petit Beurre)

- 60 g de mini-guimauves (ou des grosses coupées en 4) (1/4 de tasse)

Comment faire :

1. Faites fondre le chocolat et le beurre.


2. Hors du feu, ajoutez l'oeuf et mélangez rapidement. Ajoutez le sucre à glacer, les biscuits et les guimauves. Mélangez le tout.



3. Laissez refroidir une heure environ et versez le mélange sur une feuille de papier d'aluminium. Roulez le chocosisson en forme de... saucisson, et mettez-le au frigo pendant au moins 6 heures.


4. Déroulez le chocosisson et roulez-le dans le sucre glace. Vous pouvez même ajouter une ficelle pour faire encore plus vrai !



P.S : Désolée pour les photos moches...

vendredi 13 novembre 2009

Faire des follaerts, c'est de l'art !


Et c'est parti pour un deuxième billet qui-ne-sera-pas-une-recette-mais-qui-en-sera-une-quand-même.
Alors, dans celui-ci les amis, je vais vous parler des follaerts ! Je vois les Dunkerquois réagir, et tous les autres ouvrir des yeux ronds et se dire "c'est quoi ça ?".

Hé bien, les follaerts, c'est ce qu'on mange à la Saint-Martin à Dunkerque (et aux alentours) ! Ca ressemble aux coquilles de Noël, en plus petit. C'est de la brioche, en forme de... crottes d'âne.
"Mais ils sont fous ces Dunkerquois !" Meuh non, pas du tout ! Lisez plutôt la légende de St-Martin, et vous comprendrez mieux :
Un jour, Saint Martin, portant la bonne parole sur les côtes flamandes, perdit son âne, parti voir si l'herbe était meilleure ailleurs. Saint Martin demanda alors aux enfants de l'aider à le retrouver. Munis de lanternes, ils s'en allèrent gaiement à sa recherche. Et v'là-ti-pas qu'ils retrouvèrent l'âne dans les dunes, en train de se régaler de chardons.Saint Martin fut tellement content qu'ils remercia les enfants en transformants les crottes de l'âne en brioches.
Depuis, chaque soir du 10 novembre, les enfants se promènent dans les rues avec une lanterne en betterave à sucre, en chantant cette chanson :
Saint Martin
Boit du vin
Dans la rue des Capucins
Il a bu la goutte
Il a pas payé
On l'a mis à la porte avec un
Coup d'balai
C'était trop chouette la Saint Martin ! On allait à la mairie montrer notre betterave, et on avait 10 francs (voire 20, si la betterave était vraiment belle), un follaert et une clémentine. Et puis on chantait toute la soirée, en balançant notre lanterne à bout de bras.

Alors, l'autre soir, le 9 novembre, j'ai eu la nostalgie de la Saint Martin... et j'ai fait des follaerts. Je ne sais pas si c'était la vraie recette, mais en tout cas, c'était bien bon.

La voici :

Il vous faut :

- 30 cl de lait

- 1 carré de levure de boulanger ou un sachet de levure sèche (8g)

- 500 g de farine (presque 4 tasses)

- 50 g de sucre (1/4 de tasse)

- 100 g de beurre (un peu moins d'1/2 tasse)

- deux oeufs (un pour la pâte, un pour la dorure)

- sel

- facultatif : pépites de chocolats, raisins secs

Comment faire :1. Faites tiédir le lait et délayez-y la levure avec une cuillère à café de sucre.

2. Dans un saladier, versez la farine avec le beurre coupé en morceaux, le sucre, le sel, et un oeuf.

3. Versez la levure délayée dans le lait. (il faut qu'elle ait gonflée)

4. Pétrissez pendant 10 bonnes minutes. La pâte doit être souple et se décoller des doigts. Si ça colle trop, rajoutez de la farine. Si c'est trop sec, rajoutez de l'eau.

5. Laissez lever deux heures, ou le temps que la pâte ait doublé voire triplé de volume.

6. Sortez la pâte du saladier et applatissez-la du plat de la main pur faire sortir toutes les bulles d'air. Ajoutez des pépites de chocolat, des raisins, ou laissez la pâte nature. Formez les follaert en façonnant un petit pain long, avec deux petites boules à chaque extrêmité.

7. Préchauffez le four à 180°C (350°F) et laissez lever un quart d'heure. Badigeonnez les follaerts de jaune d'oeuf et faites cuire 15 minutes. Pour savoir si c'est cuit, retournez le follaert et tapotez-le: ça doit donner un son creux.

Vous m'en direz des nouvelles !

Ne soyons pas bégueules, mangeons des bagels

Bon, j'ai décidé de publier d'autres sortes de billets sur ce blog, parce qu'après tout, c'est mon mien, donc je fais ce que je veux, d'abord.
Et pis aussi parce que j'adore parler de bouffe, écrire sur la bouffe, lire sur la bouffe... bref, comme le clame le plastique des sacs IGA, vive la bouffe !
Donc voilà le premier billet-qui-ne-sera-pas-une-recette-mais-qui-vous-parle-de-bouffe-quand-même.

Relevez les yeux, et regardez l'objet de ce billet. Là, deux possibilités. Soit vous prononcez « Bagél », soit vous prononcez
« bégueule ». Hé bien au Québec, on prononce « bégueule ». Et là, tadam, ça rime !


Le bagel, donc, est un pain rond, avec un trou au milieu. Comme un donut, en fait. Sauf que ce n’est pas un beignet. C’est du pain, avec de la mie très dense. Dense, comme dans « J’ai mangé un bagel, j’ai plus faim ».

D’où vient ce bagel ? De la boulangerie St-Viateur… oui, mais avant? D’un boulanger de Cracovie, en Pologne, qui voulait remercier le roi d’avoir protégé les Juifs contre l’invasion des Turcs. Comme ce roi adorait l’équitation, le boulanger lui confectionna un pain en forme d’étrier. En autrichien, étrier se dit "Beugel"... qui a donné le mot bagel.

Par la suite, des Juifs d’Europe de l’Est l’ont importé dans deux grandes villes en Amérique du Nord : New York et Montréal. Celui de New York est légèrement salé, celui de Montréal légèrement sucré.

Le bagel n’est pas un pain ordinaire. Il contient de la farine, de l’eau, du sucre, du malt, des œufs, de la levure et de l’huile. Et la grosse différence, c’est qu’avant de le faire cuire, on lui fait prendre un bain d’eau bouillante. Celle de Montréal est sucrée avec du miel. Le four achève de cuire le bagel.

Il peut-être nature ou, plus couramment, parsemé de graines de sésame (le plus populaire), de pavot, à la cannelle, aux bleuets…

Et qu’est-ce qu’on met dessus ? Tout ce qu’on veut ! Beurre de pinotte, confiture, fromage, jambon… mais le plus meilleur, c’est aussi le plus traditionnel, en tout cas à Montréal : au saumon fumé!

Bon, allez, d'accord, puisque vous insistez, en voici la recette :

- Toastez le bagel coupé en deux
- Tartinez les deux moitié de fromage à la crème (en France, du St-Moret fait l’affaire)
- Sur une moitié, ajoutez des tranches de saumon fumé, des câpres, des oignons rouges, des tomates, du citron
- Refermez le bagel et coupez-le en deux

Bon, ok, d’accord, une autre recette !

- Toastez le bagel coupé en deux
- Tartinez un côté de moutarde (les deux, si vous aimez le piquant) et l’autre de fromage à la crème
- Sur une moitié, ajoutez de fines tranches de jambon, du fromage, et des tranches de pommes
- Refermez le bagel et coupez-le en deux.

Bon appétit !

dimanche 1 novembre 2009

Tarte au Maroilles, c'est au poil !


Vous en rêviez, en saliviez, en baviez... la voilà ! La recette de la tarte au Maroilles, ou comment empester votre cuisine... mais aussi vous régaler !

Il vous faut :

- 1/4 de cube de levure de boulanger ou 1 cuillère à café 1/2 de levure de boulanger

- 10 cl de lait tiède

- 1 oeuf

- 60 g de beurre fondu

- 200 g de farine

- 1 cuillère à café de sucre

- du Maroilles (200 g environ)

- de la crème fraîche liquide (10 cl environ)

Comment faire :

1. Commencez par préparer la pâte briochée. Pour cela, délayez la levure dans le lait tiède avec une cuillère à café de sucre. Pendant que ça lève, mélangez l'oeuf avec le beurre fondu. Ajoutez la levure au mélange. Terminez en ajoutant la farine. Mélangez le tout.


2. Etalez la pâte dans un moule à tarte. Laissez levez dans un endroit tiède pendant une heure.



3. Grattez la croûte du Maroilles et coupez-le en fines lamelles. Etalez-le sur la pâte. Versez la crème fraîche par dessus.



4. Faites cuire 30 minutes à 180°C (350°F). Quand ça commence à sentir bon, c'est presque prêt. Quand ça sent très fort, c'est prêt !



Alors, vous connaissiez la tarte au Maroilles ? Est-ce que ça vous a donné envie de sentir le fromage qui pue ? Connaissez-vous d’autres recettes odorantes ? N’hésitez pas à partager vos bons plans puants !




jeudi 15 octobre 2009

Muffins pêches-chocolat



Il était temps, une nouvelle recette ! Un autre dessert, les muffins pêche-chocolat. Au départ, je voulais faire des muffins poire-chocolat, et en fait, j'ai acheté la mauvaise boîte de conserve... alors j'ai fait avec des pêches !

Il vous faut : (pour 12 muffins)- une boîte de pêches au sirop (ou de poires !)

- 2 oeufs

- 100 g de beurre fondu (1/2 tasse)

- 200 g de farine (1 tasse 3/4)

- 100 g de sucre (1/2 tasse)

- 1/2 sachet de levure chimique

- 10 cl de lait
- 100 g de pépites de chocolat
- 1 pincée de sel

Comment faire :
1. Préchauffez le four à 180°C (350°F). Mélangez la farine, la levure, les pépites de chocolat et la pincée de sel.

2. Dans un autre plat, battez les oeufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Faites fondre le beurre et ajoutez-le au mélange. Ajoutez le lait.

3. Versez le mélange aux oeufs dans le mélange à la farine (autrement dit, le mélange humide dans le mélange sec). Ajoutez les pêches coupées en morceaux.

4. Ne remuez pas trop, s'il reste des grumeaux, c'est tout à fait normal, et c'est tant mieux !

5. Versez la pâte dans des moules à muffins (tant qu'à faire !) et faites-les cuire les muffins 20 minutes.

samedi 8 août 2009

Cheese ! Des cookies !


Milles excuses pour ce délai ! J'ai plein plein de recettes en attente, mais pas le temps de les mettre sur le blog. Je vous le promets, vous en aurez beaucoup cette semaine ! Et n'oubliez pas de m'envoyer les vôtres !

Il vous faut :


- 115 g de beurre mou (1/2 tasse)

- 220 g de farine (un peu moins de 2 tasses)

- 1 oeuf

- 200g de cassonade (1 tasse)

- 2 cuillères à soupe de sucre

- 1/2 cuillère à café de levure

- 1/2 cuillère à café de sel

- 1 cuillère à café de vanille

- 200g de pépites de chocolat (je sais pas combien ça fait en tasses !) de la couleur que vous voulez

Comment faire :

Préchauffez le four à 140°C (300°F).

Mélangez le beurre avec la cassonade et le sucre avec une fourchette. Il est important que le beurre soit mou et non pas fondu !


Ajoutez l'oeuf et mélangez.


Ajoutez la vanille et mélangez. La texture est un peu bizarre, c'est normal !


Ajoutez la farine petit à petit, préalablement mélangée avec la levure et le sel.


Enfin, ajoutez les pépites de chocolat et mélangez bien.


Déposez des petites boules de pâte sur une plaque recouverte de papier parchemin. Ne pas oublier de les espacer pour ne pas se retrouver avec un mono-cookie !


Faire cuire 20 à 25 minutes. On peut mettre la pâte au frigo entre les fournées, ça rend la formation des boulettes plus facile !


Ils se conservent une bonne semaine... s'ils ne sont pas mangés avant !

mercredi 17 juin 2009

Tartelettes au poireaux, ou comment utiliser les restes de son frigo

Chers gourmands, je suis désolée de ce long délai sans recette ! Mais soyez rassurés, je vais me rattraper ! (à tel point que vous allez en avoir une indigestion). Et en plus, on commence même à m'envoyer des recettes, chouette ! N'hésitez surtout pas à faire de même...

Allez, c'est parti, voici des tartelettes biquettes : poireaux-jambon-chèvre.

Il vous faut :
- des restes de pâtes brisée

- des poireaux

- du jambon

- du fromage de chèvre

Comment faire :

1. Préchauffez-le four à 180°C (350°F). Étalez la pâte brisée et formez des petits rectangles en repliant les bords. Piquez le fond à la fourchette.



2. Coupez les poireaux en lamelles et rincez-les.



3. Faites cuire les poireaux dans une poêle et étalez-les sur le fond des rectangles de pâte.



4. Recouvrez les poireaux de lamelles de jambon.



5. Ajoutez une tranche de chèvre, ou plus selon le goût.



6. Faites cuire en surveillant la cuisson, sous peine de se retrouver avec ceci :



Mais je suis sûre que ça aurait été délicieux si ça n'avait pas cramé!!

vendredi 22 mai 2009

Des nouvelles recettes bientôt, c'est cadeau !

Bijour les gens !

Nouveau sur ce blog : le concept de teaser... pour vous faire saliver d'impatience !

Bientôt vous trouverez ici même une recette de mini-quiches brûlées, de poisson en bouillie et de super cookies !

lundi 11 mai 2009

Gâteau chocolat au lait-noisettes, c'est la fête !


Le suspense était à son comble... mais je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps, en voici la recette, tirée de mon livre "Pâtisseries entre copains", que je vous conseille vivement !

Il vous faut :

- 200 g de chocolat au lait

- 200 g de beurre mou (presqu'une tasse)

- 130 g de farine (1 + 3/4 tasses)

- 200 g de noisettes en poudre (1 + 1/2 tasses)

- 250 g de sucre (1 + 1/4 tasses)

- 6 oeufs

- une cuillère à café de cannelle

- une cuillère à café de levure

- une pincée de sel

Comment faire :

1. Préchauffez le four à 180°C (350°F). Râpez le chocolat au lait (et mettez vous en plein les mains) et si vous n'y arrivez pas parce que la tablette est trop fine, coupez-le en petits morceaux.


2. Mélangez le chocolat avec les noisettes en poudre. Dans un autre récipient, mélangez la farine avec la levure et la cannelle.


3. Séparez les blancs des jaunes d'oeufs.


4. Mélangez le beurre avec le sucre jusqu'à l'obtention d'une mousse.

5. Ajoutez les jaunes un à un. (si vous avez cassé les oeufs comme un barbare ou que vos oeufs ne sont plus très frais, ça va être difficile de mettre les jaunes un par un, mais ce n'est pas très grave. Allez-y juste petit à petit.)


6. Ajoutez le mélange chocolat-noisettes, puis la farine.



7. Battez les blancs en neige avec une pincée de sel.


8. Ajoutez délicatement les blancs à la pâte.


9. Versez dans des moules à cake et faites cuire 40 minutes au moins. Pour vérifier la cuisson, plantez un couteau dans le gâteau, la lame doit ressortir sèche. Laissez reposer 10 minutes avant de le démouler.
Si vous remarquez que ça crame, mais que l'intérieur n'est pas cuit, mettez une feuille d'alu par dessus le gâteau. (ce qui m'arrive tout le temps avec ce genre de gâteaux.)


Si vous êtes d'humeur gourmande, vous pouvez rajoutez un glaçage par dessus.